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Fatima |
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Femme dans une orangerie |
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Fatima ou femme nue allongée |
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Jeune femme sous les bananiers |
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Les deux amies |
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Bergère et le chevreau |
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Youka |
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La cueillette des dattes |
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Jeunes filles récoltant des dattes |
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Nu dans le jardin de la villa Majorelle |
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Beauté africaine |
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La belle Zorah |
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La Sieste |
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Nu étendu sur une couverture rouge |
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Femme nue de dos |
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Le modèle alangui |
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Nu |
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Jeune femme assise sur une couverture noire et blanche |
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Le Modèle nu allongé, une femme noire assise à ses côtés |
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Biographie
Fils de l’ébéniste Louis Majorelle, Jacques baigne, dès
son enfance, dans le courant Art nouveau de l'École de Nancy. Il accompagne
fréquemment son père dans ses ateliers. Il s'inscrit en 1901 à l'École des
Beaux-Arts de Nancy en section Architecture et Décoration.
Dès 1903, Jacques Majorelle s’éloigne peu à peu de Nancy
et de son père. Il préfère devenir peintre et part à Paris. Il s'inscrit à
l’Académie Julian où il suit des cours à l'atelier "S R",
c'est-à-dire, celui de Schommer et Royer.
En 1910, il découvre l’Égypte, le monde de l’Islam, ses
couleurs, ses lumières, ses coutumes. C'est le début de sa passion pour
l'Afrique. En 1908 a lieu sa première exposition à Paris à la Société des
Artistes Français. En 1917, il arrive au Maroc et s’installe définitivement à
Marrakech. L'année suivante il présente une première exposition dans le hall de
l’hôtel Excelsior à Casablanca.
En 1919, il fait sa première expédition dans le sud du
pays, et publie à son retour « Carnet de route d’un peintre dans l’Atlas et
l’Anti-Atlas », journal relatant son périple. En 1922 il achète une palmeraie
en bordure de celle de Marrakech et en 1931, il fait construire par
l'architecte Paul Sinoir sa villa style Art déco d’une étonnante modernité,
inspirée de Le Corbusier et du Palais de la Bahia de Marrakech. Il y aménage
son habitation principale au premier étage et un vaste atelier d'artiste au
rez-de-chaussée pour peindre ses immenses décors.
Il commence en 1930 à peindre des nus noirs. Il multiplie
ses expériences sur la couleur, en particulier l'application de poudre d’or et
d’argent, et séjourne souvent dans l’Atlas et en Afrique noire. En 1937 l'artiste
crée un bleu outremer à la fois intense et clair : le bleu Majorelle, dont il
peindra les murs de sa villa, puis tout le jardin pour en faire un tableau
vivant qu'il ouvre au public en 1947.
Magnifiques. Bonne semaine, chère Kenza.
RépondreSupprimerun billet de criconstance.. une visite à marrackech est prévu..je penserai à toi!
RépondreSupprimerQuelle belle série ma Kenza ! J'aime beaucoup sa façon de jouer avec les contrastes, ces portraits sont modernes, très libres et vraiment magnifiques ! Merci à toi pour ce partage (et mille mercis pour l'Afghan à la rose aussi!) Je te fais plein de bisous
RépondreSupprimerJe rêve... J'aime beaucoup de le travail de l'ombre portée des feuillages sur la peau de cette belle femme.
RépondreSupprimerTrès beau, quel artiste !
RépondreSupprimerQuels corps et quel talent pour les représenter ainsi !!! Belle journée Kenza. brigitte
RépondreSupprimerLe tableau de la belle Zora semble être une photo tellement que la peinture est finie. Je découvre une belle palette de ses toiles à travers ta composition. Merci
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