mardi 8 janvier 2013

Portrait d'Aïcha, Constant Joseph Brochart

Constant Joseph Brochart (1816-1889/1899), Portrait d'Aïcha. L'une des femmes d'Abd el Kader  
Crédit photographique : (C) Musée La Piscine (Roubaix), Dist. RMN-Grand Palais / Arnaud Loubry

« Et ma vie pour tes yeux lentement s'empoisonne. »  
Guillaume Apollinaire, Les colchiques

7 commentaires:

  1. une beauté à la frida kahlo.. les sourcils en ligne...

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  2. Aucun doute, Apollinaire la regardait en écrivant ces mots ;)

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  3. Elle a vraiment des jolis yeux cette Aïcha. L'émir Abdelkader avait de la chance sur ce point là.

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  4. La piscine est vraiment un musée fantastique tant par ses œuvres que par son architecture.

    Vivement que j'y retourne pour aller voir ce beau portrait.

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  5. Elle est bien gironde n'est-ce pas, une beauté du sud ... Quelle belle oeuvre ! merci chère Hôte !

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  6. Bonjour Kenza,
    Merci pour ton passage chez moi :) À mon tour, je te souhaite une année remplie de santé, de bonheur, de paix et d'amour. Je passe parfois par Paris. Si tu veux, je t'en donne de nouvelles et on se voit pour un café :)

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«Trois opérations : Voir, opération de l’œil. Observer, opération de l’esprit. Contempler, opération de l’âme. Quiconque arrive à cette troisième opération entre dans le domaine de l’art.» Emile Bernard