Berthe Morisot (1841-1895), Young Woman
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On ne peut me connaîtreMieux que tu me connais
Tes yeux dans lesquels nous dormons
Tous les deux
Ont fait à mes lumières d'homme
Un sort meilleur qu'aux nuits du monde
Tes yeux dans lesquels je voyage
Ont donné aux gestes des routes
Un sens détaché de la terre
Dans tes yeux ceux qui nous révèlent
Notre solitude infinie
Ne sont plus ce qu' ils croyaient être
On ne peut te connaître
Mieux que je te connais.
Paul Eluard, Les yeux fertiles 1936
Un très beau poème et un très beau visage de jeune femme. Félicitations pour ton retour !
RépondreSupprimerJe trouve ce visage très beau , ces couleurs exquises ; et pour ce qui est du poème , sous le charme !
RépondreSupprimerBelle belle journée
EB
Admirable ! Merci Kenza !
RépondreSupprimerBon 14 juillet !
A bientôt
un beau portrait, un beau texte, comme toujours avec toi, une sensible harmonie.Je comprends que tu as été souffrante, j'ai été distraite par mes propres problèmes et donc j'ai manqué d'amicale attention. J'espère que tout va bien à présent.
RépondreSupprimerDanielle
C'est beau, c'est doux... Merci ma belle. (mille bises pour cette fin de semaine...)
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