Ignace Spiridon 1869-1900 Odalisca
~~~~~
~~~~~
Quand l'ardente saison fait aimer les ruisseaux,
A l'heure où vers le soir, cherchant le frais des eaux,
La belle nonchalante à l'ombre se promène,
Que sa bouche entr'ouverte et que sa pure haleine
Et son sein plus ému de tendresse et de voeux
Appellent les baisers et respirent leurs feux;
Que l'amant peut venir, et qu'il n'a plus à craindre
La raison qui mollit et commence à se plaindre;
Que sur tout son visage, ardente et jeune fleur,
Se répand un sourire insensible et rêveur;
Que son cou faible et lent ne soutient plus sa tête;
Que ses yeux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Sous leur longue paupière à peine ouverte au jour,
Languissent mollement et sont noyés d'amour...
(inachevé)
.
André Chénier
Belle découverte que votre blog...
RépondreSupprimermerci pour vos mots chaleureux déposés chez moi.
A bientôt
Vous êtes la bienvenue! Je vous remercie pour votre visite et pour votre gentil commentaire.
RépondreSupprimerAmicalement
Encore un très beau tableau !
RépondreSupprimerToujours aussi agréable de venir chez toi, Kenza!
RépondreSupprimerTRES SENSUEL LE TEXTE ET LE TABLEAU J'ADORE!!!bisous Kenza!!!
RépondreSupprimermarcela