James Ensor 1860-1949, La Mort et les masques 1897 Liège
Musée d’Art moderne et contemporain
© MAMAC, Liège © ADAGP, Paris 2009
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Musée d’Art moderne et contemporain
© MAMAC, Liège © ADAGP, Paris 2009
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Du 20 octobre 2009 au 4 février 2010
Le Musée d'Orsay présente
James Ensor
Cette exposition est organisée par
le Museum of Modern Art de New York,
en collaboration avec le Musée d'Orsay et
la Réunion des Musées Nationaux, Paris
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Du 20 octobre 2009 au 4 février 2010
Le Musée d'Orsay présente
James Ensor
Cette exposition est organisée par
le Museum of Modern Art de New York,
en collaboration avec le Musée d'Orsay et
la Réunion des Musées Nationaux, Paris
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Première rétrospective présentée à Paris depuis 1990, cette exposition entend montrer le jeu de rupture et de continuité perpétuellement pratiqué par Ensor.
La continuité, ce sont les héritages naturaliste et symboliste qui marquent ses débuts ainsi que la tradition des masques, du travestissement, du grotesque et de la satire, du carnaval, héritée de son enfance à Ostende, ville à laquelle il est viscéralement attaché. La rupture, c'est la dramatisation de l'usage de la couleur et de la lumière. C'est également l'invention d'un nouveau langage où les mots s'imposent, à côté des images, pour signifier crûment des idées et celle d'un nouveau système narratif où pullulent les personnages et les actions. Par sa cinglante ironie, son sens de la dérision et de l'auto-dérision, sa couleur intense, son expressivité, Ensor, peintre étrange et inclassable, trouve sa place parmi les précurseurs de l'expressionnisme.
James Ensor, La Mangeuse d’huîtres 1882 Koninklijk
Museum voor Schone Kunsten, Anvers, Belgique
© Courtesy Lukas-Art in Flanders © ADAGP, Paris 2009
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Vidéo James Ensor au Museum of Modem Art, New York
James Ensor, un peintre des plus tourmenté... incompris très souvent le long de sa carrière. Ses tableaux très contrastés quand aux Thèmes choisis et la technique picturale employée, nous sont dévoilés, ici, grâce à toi, ma chérie...
RépondreSupprimerCertains de ses tableaux sont inquiétants, comme devait l'être l'état d'esprit de James lors de leur exécution et le fait d'avoir vécu au milieu de masques avec sa mère...
J'en garde cette impression d'une explosion de couleurs, tout comme les tons tamisés de sa Belgique natale...
Merci une fois de plus ma Belle Kenza de nous le redécouvrir, dans la facette la plus complète de son oeuvre..
Mille et un bisous... Ma Princesse.
60 ans après sa mort, l’héritage de James Ensor semble toujours tiraillé entre son ancrage belge, voire ostendais, et une reconnaissance internationale. Écartelé aussi entre le solide naturalisme de ses débuts et les fantaisies masquées, "squelettisées", acides et virulentes qui traversent, à grands pas colorés et grimaçants, la plus grande partie de sa carrière.
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