Benjamin Constant (1845-1902), Beauté orientale
Musée des beaux-arts de Montréal. Photo / Christine Guest
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Passant par la maison, la maison de Laylâ,
Je baise ce mur-ci, cet autre, et celui-là.
Est-ce d'aimer les murs que tu perds la raison?
Non pas les murs, mon coeur : les gens de la maison.
Majnûn, l'amour poème. Choix de poèmes traduits de l'arabe et présentés par André Miquel
Editions: Sindbad - ACTES SUD
Des vers émouvants ma douce Kenza et si joliment illustrés ! Bisous
RépondreSupprimerQuels jolis vers ! Quel joli nom que "Laylâ" ! Bisous. brigitte
RépondreSupprimerJ'aime bien cette toile. Le sourire retenu, le regard coquin qui se devine. On est loin des femmes fatales ou langoureuses habituelles — que j'aime tout autant, par ailleurs.
RépondreSupprimerCharmant, Kenza.
RépondreSupprimerBon soir.
Regard instantané d'une jeune dame.
RépondreSupprimerJ'aime ces vers et cette beauté orientale qui colle si bien à ce poème !!
RépondreSupprimerBisous et à très vite !
Solène
Oh... je suis toute émue par tant de beauté...
RépondreSupprimerCet orange dans cette belle peinture donne
RépondreSupprimerune énergie très particulière , la dame a l'air sage et
cependant il se dégage une douce sensualité .EB
C'est un poésie qui fait la place large aux femmes, peut être devrait on la faire connaitre en Arabie Saoudite et la lire à cette jeune femme emprisonnée pour avoir conduit sa voiture
RépondreSupprimerLes siècles qui passent n'apportent pas toujours le progrès
So beautiful! I love all of your magical and magnificent posts Kenza...you are awesome!
RépondreSupprimerVictoria
j'aime beaucoup! les couleurs, l'ambiance! les mots tout!
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