lundi 23 mai 2011

Majnûn Laylâ

Benjamin Constant (1845-1902), Beauté orientale
Musée des beaux-arts de Montréal. Photo / Christine Guest
***
Passant par la maison, la maison de Laylâ,
Je baise ce mur-ci, cet autre, et celui-là.
Est-ce d'aimer les murs que tu perds la raison?
Non pas les murs, mon coeur : les gens de la maison.

Majnûn, l'amour poème. Choix de poèmes traduits de l'arabe et présentés par André Miquel
Editions: Sindbad - ACTES SUD

11 commentaires:

  1. Des vers émouvants ma douce Kenza et si joliment illustrés ! Bisous

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  2. Quels jolis vers ! Quel joli nom que "Laylâ" ! Bisous. brigitte

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  3. J'aime bien cette toile. Le sourire retenu, le regard coquin qui se devine. On est loin des femmes fatales ou langoureuses habituelles — que j'aime tout autant, par ailleurs.

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  4. Regard instantané d'une jeune dame.

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  5. J'aime ces vers et cette beauté orientale qui colle si bien à ce poème !!
    Bisous et à très vite !
    Solène

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  6. Oh... je suis toute émue par tant de beauté...

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  7. Cet orange dans cette belle peinture donne
    une énergie très particulière , la dame a l'air sage et
    cependant il se dégage une douce sensualité .EB

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  8. C'est un poésie qui fait la place large aux femmes, peut être devrait on la faire connaitre en Arabie Saoudite et la lire à cette jeune femme emprisonnée pour avoir conduit sa voiture
    Les siècles qui passent n'apportent pas toujours le progrès

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  9. So beautiful! I love all of your magical and magnificent posts Kenza...you are awesome!
    Victoria

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  10. j'aime beaucoup! les couleurs, l'ambiance! les mots tout!

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«Trois opérations : Voir, opération de l’œil. Observer, opération de l’esprit. Contempler, opération de l’âme. Quiconque arrive à cette troisième opération entre dans le domaine de l’art.» Emile Bernard