Giulio Aristide Sartorio (1860-1932), Madonna degli Angeli (Magnificat)
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J’entends au dessus de moi dans les cieux
Les anges qui chantent entre eux
Ils ne peuvent trouver de mot d’amour plus grand
Que celui-ci : Maman
Edgar Allan Poe
Billet publié et disparu le 11 mai 2011, jour du grand bug Blogger!
Je regrette les commentaires perdus et m'en excuse auprès de mes amis.
A la demande de Dsata qui me l'a gentiment réclamée, je publie
cette seconde version et la lui dédie.
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Belle peinture illustrant un tendre texte de Poe. Superbe merci! Bonne journée Kenza
RépondreSupprimerBelle illustration et beau texte. A bientôt
RépondreSupprimerMalgré mon admiration pour Poe, je ne peux m'empêcher de trouver ces quelques vers un peu mièvres...
RépondreSupprimerUne peinture très tendre pour accompagner Poe. Bisous ma Kenza !
RépondreSupprimerVois-tu mon sourire béat ?
RépondreSupprimerOh que j'aime! (j'ai rajouté qq vers de Hafez au billet... tu es si rapide!) Mille bises ma douce.
RépondreSupprimerUn soupçon trop tôt ... ce billet serait idéal pour la fête des mamans.
RépondreSupprimerBisous !
Un grand merci Kenza !
RépondreSupprimerCette peinture est vraiment admirable, merci de la partager.
Merci pour cette jolie ballade.
RépondreSupprimerBonne continuation.