John William Godward (1861-1922), A Classical Beauty
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Traîtresse aux tresses de serpents,Elle l'abandonna qui cherchait son chemin.
Mais au coeur elle l'atteignit quand doucement elle
se retourna,
Le laissant malade sur la couche.
De l'arc du sourcil, elle décocha les flèches du regard,
Par quelque fente que tu viennes, tu es tué.
Ibn Arabî. Extrait de Le Chant de l'ardent désir, traduction de l'arabe Sami-Ali
Un regard bien troublant!
RépondreSupprimerQue dire de plus sinons se délecter.... bonne journée!
RépondreSupprimerUne association fulgurante : le regard de cette belle correspond à merveille à "l'arc du sourcil..."
RépondreSupprimerBelle journée à toi ma Kenza !
oh... quelle belle traduction. Ibn Arabi est un de mes favoris. Il n'était pas vraiment poète mais quand il s'y mettait -quelle beauté! Son amour du details "l'arc du sourcil" on peut trés bien s'imaginer la scène. Merci ma douce et pour ton gentil mot.
RépondreSupprimerUn visage envoutant .EB
RépondreSupprimerIl est des traîtresses dont on ne peut se défaire ;)
RépondreSupprimerbeautiful pic :) you have always so delightful pics:)
RépondreSupprimerJolie formule ! ;De l'arc du sourcil, elle décocha les flèches du regard,
RépondreSupprimerensorceleuse !!
RépondreSupprimerAnge ou Démon ? Je trouve pourtant le visage de cette charmante jeune femme aux tresses bien sages, si angélique !
RépondreSupprimerbisous
Danielle