 A l’origine, cette photo était destinée à illustrer un sujet
A l’origine, cette photo était destinée à illustrer un sujetsur le pique-nique « années trente au château de Candé »…
La voilà détournée en self-portrait improvisé, inspiré
des très jolis self-portraits de Sophie.
 A l’origine, cette photo était destinée à illustrer un sujet
A l’origine, cette photo était destinée à illustrer un sujet Alexandre Cabanel 1823-1889, Albeydé
 Alexandre Cabanel 1823-1889, Albeydé Extrait: « Nous partîmes. Je la sentais près de moi comme un halo de bronze, vivante et mystérieuse, une ville de volupté et de mystère. Heureux de la voir rire si facilement. On rencontre en Europe fréquemment ce genre de femme intrépide, gaie et curieuse de tout. Et moi, j’étais un désert de soif, plein de désirs fous. Comme nous prenions le thé, elle m’interrogea sur le Soudan. Je lui racontai des histoires invraisemblables de désert aux sables d’or, de forêts vierges retentissant aux cris d’animaux imaginaires, de capitales fabuleuses dont les rues s’animaient au passage de lions et des éléphants et où les crocodiles sortaient à l’heure de la sieste. Elle m’écoutait à moitié crédule. Elle riait, fermait les yeux, les pommettes colorées. Par moments elle m’écoutait religieusement, ayant aux yeux une compassion chrétienne. Je devins pour elle une créature primitive et nue de la jungle, armée de flèches et arcs à la main, guettant lions et éléphants. Parfait : la curiosité changea en connivence, puis en compassion. Et quand j’agiterais la dormante mare des profondeurs, je transmuerais la compassion en désir. J’allais pouvoir jouer d’elle à ma guise, comme d’un instrument de musique accordé à ma façon. »
Extrait: « Nous partîmes. Je la sentais près de moi comme un halo de bronze, vivante et mystérieuse, une ville de volupté et de mystère. Heureux de la voir rire si facilement. On rencontre en Europe fréquemment ce genre de femme intrépide, gaie et curieuse de tout. Et moi, j’étais un désert de soif, plein de désirs fous. Comme nous prenions le thé, elle m’interrogea sur le Soudan. Je lui racontai des histoires invraisemblables de désert aux sables d’or, de forêts vierges retentissant aux cris d’animaux imaginaires, de capitales fabuleuses dont les rues s’animaient au passage de lions et des éléphants et où les crocodiles sortaient à l’heure de la sieste. Elle m’écoutait à moitié crédule. Elle riait, fermait les yeux, les pommettes colorées. Par moments elle m’écoutait religieusement, ayant aux yeux une compassion chrétienne. Je devins pour elle une créature primitive et nue de la jungle, armée de flèches et arcs à la main, guettant lions et éléphants. Parfait : la curiosité changea en connivence, puis en compassion. Et quand j’agiterais la dormante mare des profondeurs, je transmuerais la compassion en désir. J’allais pouvoir jouer d’elle à ma guise, comme d’un instrument de musique accordé à ma façon. » Si vous prenez la route entre Bâle et Lucerne, n’hésitez pas à vous arrêter à Zofingen, une charmante petite bourgade au décor pittoresque et à la gastronomie des plus raffinées.
 Si vous prenez la route entre Bâle et Lucerne, n’hésitez pas à vous arrêter à Zofingen, une charmante petite bourgade au décor pittoresque et à la gastronomie des plus raffinées. Sir Frank Dicksee 1853-1928, Le miroir
 Sir Frank Dicksee 1853-1928, Le miroir Jodel possède une acuité auditive hors du commun, il entend absolument tout. Cette hypersensibilité aux bruits dont il subit les agressions jour et nuit et qui l’oblige à vivre en retrait, est en même temps son outil de travail. En effet, son métier consiste à décrypter des enregistrements sur bandes magnétiques pour le compte d’un laboratoire qui travaille en étroite collaboration avec les services de police.
Jodel possède une acuité auditive hors du commun, il entend absolument tout. Cette hypersensibilité aux bruits dont il subit les agressions jour et nuit et qui l’oblige à vivre en retrait, est en même temps son outil de travail. En effet, son métier consiste à décrypter des enregistrements sur bandes magnétiques pour le compte d’un laboratoire qui travaille en étroite collaboration avec les services de police.
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 "Leur danse est une marche douce que rythme un coup de talon faisant sonner les anneaux de pieds. A chacun de ces coups, le corps entier fléchit dans une sorte de boiterie méthodique ; et leurs mains, élevées et tendues à la hauteur de l’œil, se retourne, doucement à chaque retour du sautillement, avec une vive trépidation, une secousse rapide de doigts. La face un peu tournée, rigide, impassible, figée demeure étonnamment immobile, une face de sphinx, tandis que le regard oblique reste tendu sur les ondulations de la main, comme fasciné par ce mouvement doux, que coupe sans cesse la brusque convulsion des doigts. Elles vont ainsi, l’une vers l’autre. Quand elles se rencontrent, leurs mains se touchent ; elles semblent frémir ; leurs tailles se renversent, laissant traîner un grand voile de dentelle qui va de la coiffure aux pieds. Elles se frôlent, cambrées en arrière, comme pâmées dans un joli mouvement de colombes amoureuses. Le grand voile bat comme une aile. Puis, dressées soudain, redevenues impassibles, elles se séparent ; et chacune continue jusqu’à la ligne des spectateurs son glissement lent et boitillant."
 "Leur danse est une marche douce que rythme un coup de talon faisant sonner les anneaux de pieds. A chacun de ces coups, le corps entier fléchit dans une sorte de boiterie méthodique ; et leurs mains, élevées et tendues à la hauteur de l’œil, se retourne, doucement à chaque retour du sautillement, avec une vive trépidation, une secousse rapide de doigts. La face un peu tournée, rigide, impassible, figée demeure étonnamment immobile, une face de sphinx, tandis que le regard oblique reste tendu sur les ondulations de la main, comme fasciné par ce mouvement doux, que coupe sans cesse la brusque convulsion des doigts. Elles vont ainsi, l’une vers l’autre. Quand elles se rencontrent, leurs mains se touchent ; elles semblent frémir ; leurs tailles se renversent, laissant traîner un grand voile de dentelle qui va de la coiffure aux pieds. Elles se frôlent, cambrées en arrière, comme pâmées dans un joli mouvement de colombes amoureuses. Le grand voile bat comme une aile. Puis, dressées soudain, redevenues impassibles, elles se séparent ; et chacune continue jusqu’à la ligne des spectateurs son glissement lent et boitillant." Sa silhouette majestueuse, chargée d’histoire et fière
Sa silhouette majestueuse, chargée d’histoire et fière Laissé à l'abandon pendant plus de deux siècles,
 Laissé à l'abandon pendant plus de deux siècles, Blason de Guillaume II à l’entrée du château.
Blason de Guillaume II à l’entrée du château.  Elisabeth-Louise Vigée Le Brun (1755-1842)
  Elisabeth-Louise Vigée Le Brun (1755-1842) Lavez délicatement une vingtaine de grosses fraises sans les équeuter, puis posez-les sur du papier absorbant. Pendant ce temps, faites fondre 150g de chocolat blanc au bain-marie ou au four à micro-ondes. Trempez les fraises une à une dans le chocolat, posez sur une grille et placez dans le réfrigérateur pendant une demi-heure. Disposez dans un plat et bon appétit !
 Lavez délicatement une vingtaine de grosses fraises sans les équeuter, puis posez-les sur du papier absorbant. Pendant ce temps, faites fondre 150g de chocolat blanc au bain-marie ou au four à micro-ondes. Trempez les fraises une à une dans le chocolat, posez sur une grille et placez dans le réfrigérateur pendant une demi-heure. Disposez dans un plat et bon appétit ! Mardi 2 juin, la Boîte à livres recevait Irène Frain
Mardi 2 juin, la Boîte à livres recevait Irène Frain L'enseigne du Zum Braunen Mutz
 L'enseigne du Zum Braunen Mutz  Situé en plein centre de Bâle, ce restaurant-brasserie
 Situé en plein centre de Bâle, ce restaurant-brasserie