vendredi 28 octobre 2011

Edward Cucuel, Autumn walk

Edward Cucuel (1879-1954), Woman with Boat
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Autumn walk
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 Autumn Sun
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Wood Nymph
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Autumn sunlight
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Herbstzauber
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Dame mit Sonnenschirm im Herbstlaub am Ammersee
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 Autumn walk
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Tea in the park
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Ma tête, penche-toi sur l'eau blanche... Cécile Sauvage

Edward Cucuel (1875-1954), Evening by sea
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Ma tête, penche-toi sur l'eau blanche et dénoue
Dedans tes longs cheveux et que l'eau passe et joue
Au travers, les emporte au mouvement des vagues
Dans le sommeil flottant et végétal de l'algue.
Que le glissement calme et murmurant de l'eau
Entraîne hors de ton front cet impalpable flot
De pensée et de rêve avec tes longues tresses
Qui mêlent au courant leur fuyante souplesse.

Cécile Sauvage 

mercredi 26 octobre 2011

Cézanne et Paris, Musée du Luxembourg

Paul Cézanne, Madame Cézanne à la jupe rayée. © Museum of Fine Arts Boston
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Cézanne et Paris
du 12 octobre 2011 au 26 février 2012

Cézanne (1839-1906), qu’une légende tenace décrit comme "le Maître d’Aix" solitaire et retiré en Provence, ne s’est en réalité jamais éloigné de la capitale et de l’Ile-de-France : entre 1861et 1905, il n’a cessé d’y revenir et de s’en inspirer. Son œuvre témoigne de ces séjours au cours desquels il fréquente les impressionnistes, Pissarro, Guillaumin, Renoir, Monet. Quelques amis le soutiennent comme le Docteur Gachet à Auvers-sur-Oise. À Paris, Cézanne se confronte tout autant à la tradition qu’à la modernité. Il trouve les "formules" avant de les exploiter en Provence (plus de vingt fois il fait l’aller/retour Paris/Provence). L’exposition nous éclaire sur les grands thèmes qu’il explore alors : quelques vues dans Paris, les paysages d’Ile-de-France, les nus, natures mortes et portraits. Son amitié avec Zola est privilégiée. Après 1890, critiques, marchands, et collectionneurs commencent à s’intéresser à son œuvre. Cézanne se montre attentif à cette reconnaissance qui ne peut venir que de Paris. Ainsi imprime-t-il sa marque dans l’art moderne : l’avant-garde le considèrera comme un précurseur, "notre père à tous", selon la formule de Picasso.
Organisée en collaboration avec le Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, l’exposition réunit environ 80 œuvres majeures issues du monde entier.
L’exposition Cézanne et Paris est organisée par la Rmn-Grand Palais en collaboration avec le Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris. Cette exposition bénéficie de prêts exceptionnels du Musée d’Orsay.

Paul Cézanne, Portrait d'Ambroise Vollard, Marchand de tableaux
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Paul Cézanne, Une moderne Olympia
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Paul Cézanne, La rue des Saules à Montmartre
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Paul Cézanne, Les toits de Paris
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lundi 24 octobre 2011

Il Simbolismo in Italia, Palazzo Zabarella

Giovanni Segantini, Petalo di Rosa, 1891. Collection Privée
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Il Simbolismo in Italia
du 1er octobre 2011 au 12 février 2012
Padoue
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Une grande exposition au Palazzo Zabarella de Padoue.
L'importante expo « Symbolisme en Italie », consacrée au XIXème siècle italien jusqu'aux avant-gardes, sera ouverte au public jusqu'au 12 février 2012.
La force de ce mouvement a été celle d'interpréter et de représenter en peinture les grandes valeurs universelles de l'humanité, pénétrant même le territoire de l'inconscient. Cette extraordinaire aventure artistique sera reconstruite à travers les tableaux - chefs-d'œuvre désormais entrés dans l'imaginaire collectif - de ses protagonistes (parmi lesquels Segantini, Previati, Morbelli, Pellizza da Volpedo, De Carolis et beaucoup d'autres).
L'expo sera organisée en sections thématiques et parcourra l'histoire italienne des années 1880 pour arriver jusqu'à la veille de la Première Guerre Mondiale. Parmi les objectifs de l'exposition il y la volonté de documenter les contacts des peintres italiens avec les grands symbolistes étrangers présents en Italie: des inoubliables pré-raphaëliens jusqu'à Böcklin, Puvis de Chavannes, Klinger, Von Stuck, Klimt, connus par le biais des Biennales de Venise.
À ce propos, la reconstruction de la célèbre Sala del Sogno (n.d.t.: Salle du Songe), laquelle, lors de la Biennale de 1907, fut considerée comme la consécration officielle d'un mouvement qui représentait l'esprit italien de la fin de ce siècle, constituera un événement à coup sûr spectaculaire. Veneto

Giulio Artistide Sartorio, Il Precursore, 1927-1928
Musei Vaticani, Città del Vaticano
Gaetano Previati, Il Sogno, 1912. Collection Privée
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Giovanni Segantini, L’amore alla fonte della vita, 1896
Galleria d’Arte Moderna, Milano
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Gaetano Previati, Notturno, 1909. Gardone, Il Vittoriale degli Italiani
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Adolfo De Carolis, Madonna, Laudata sii per la bella luce che desti in terra,
1900. Collection Privée, courtesy Enrico Gallerie d’Arte
Giorgio Kienerk, Giovinezza, 1902. Pavia, Musei Civici
Vittore Grubicy de Dragon, Monta la nebbia da la Vall…, 1895
Roma, Galleria Nazionale d’Arte Moderna e Contemporanea
Su concessione del Ministero per i Beni e le Attività Culturali
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Francesco Lojacono,  Nelumbium, 1897. Collection Privée
Gaetano Previati, Maternità, 1890-1890
Collezione Banca Popolare di Novara - Gruppo Banco Popolare

samedi 22 octobre 2011

Bon week-end

Ecole française du XIXème, Le Petit Pierrot
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Je vous souhaite un excellent week-end!

Marguerite Duras entre dans La Pléiade

Marguerite Duras au Petit Saint Benoit par Robert Doisneau


Marguerite Duras, qui fut une légende vivante, s'incarne pour beaucoup dans un livre particulier : souvent Un barrage contre le Pacifique (1950) ou L'Amant (1984), parfois Le Ravissement de Lol V. Stein (1964), ou encore dans un film et sa mélodie, India Song (1973). Plus rares sont les lecteurs qui se représentent l'œuvre dans sa continuité souterraine. À travers la diversité des genres – romans, nouvelles, théâtre, scénarios, films –, Duras n'a jamais cessé d'explorer l'écriture elle-même. Car c'est précisément la recherche d'une voix qui lui fût propre qui l'a amenée à composer pour le théâtre (où le langage «a lieu») comme à prendre la caméra : «Je parle de l'écrit même quand j'ai l'air de parler du cinéma. Je ne sais pas parler d'autre chose.» Bien sûr, l'expérience de l'écriture dramatique ou cinématographique influence l'écriture romanesque, et certains sujets passent d'un genre ou d'un support à un autre, mais il y a plus : peu à peu se fait jour un style reposant sur la porosité des genres. Sur la couverture d'India Song se lit une triple mention, «texte théâtre film»...
Sa voix propre, Duras ne l'a pas trouvée d'emblée, et le mystère de sa découverte est l'un des charmes d'une lecture chronologique de son œuvre. Ses deux premiers romans respirent l'air «existentialiste» de l'époque. Les trois suivants – Un barrage contre le Pacifique< (1950), Le Marin de Gibraltar (1952), Les Petits Chevaux de Tarquinia (1953) – s'inscrivent dans l'«âge du roman américain». Puis, peu à peu, le romanesque narratif s'efface, les personnages s'estompent ou s'affinent – au point de se réduire bientôt, dans la nouvelle «Les Chantiers» (et plus tard dans Détruire dit-elle), à des séries d'états d'âme presque anonymes, voire à un étrange statut de regard regardé. L'évolution, toutefois, n'est pas linéaire : la tendance à la déréalisation du réel et au primat de la parole dialoguée ou soliloquée était marquée dès L'Après-midi de monsieur Andesmas (1962), mais les personnages du Vice-consul (1966) prennent corps dans la chaleur moite d'un décor indien quasi baroque.
Les deux premiers volumes des Œuvres complètes, enrichis de nombreux textes et documents rares, retracent l'histoire d'une écriture et, par le biais d'épisodes ou de personnages récurrents (dont certains deviendront de véritables mythes littéraires), mettent en place les «cycles», informels et poreux, qui traverseront toute l'œuvre : l'Indochine de l'enfance, l'Inde du fantasme.

Née en 1914 près de Saigon (Cochinchine), d'une mère institutrice et d'un père professeur de mathématiques, Marguerite Donnadieu se fixe définitivement en France en 1932. Elle se marie avec Robert Antelme en 1939, et publie son premier roman (Les Impudents), sous le pseudonyme de Marguerite Duras, en 1943. Résistante pendant la guerre, communiste jusqu'en 1950, ayant activement participé à Mai 68, Marguerite Duras a développé une écriture protéiforme considérable (cinéma, théâtre, articles de presse, romans et récits). Elle est décédée le 3 mars 1996 à Paris.  La Pléiade

vendredi 21 octobre 2011

Matin d'octobre, François Coppée

William Clarke Rice (1875-1928), October (cover illustration for Harpers Magazine) 1903
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C’est l’heure exquise et matinale
Que rougit un soleil soudain.
A travers la brume automnale
Tombent les feuilles du jardin.

Leur chute est lente. On peut les suivre
Du regard en reconnaissant
Le chêne à sa feuille de cuivre,
L’érable à sa feuille de sang.

Les dernières, les plus rouillées,
Tombent des branches dépouillées ;
Mais ce n’est pas l’hiver encore.

Une blonde lumière arrose
La nature, et, dans l’air tout rose,
On croirait qu’il neige de l’or.

François Coppée

jeudi 20 octobre 2011

Les femmes qui lisent sont de plus en plus dangereuses, Laure Adler & Stefan Bollmann

 Sir John Lavery (1856-1941), Miss Auras (Le Livre rouge) Collection particulière

« Quiconque sait lire voit deux fois mieux. »
Méandre (IV siècle avant Jésus-Christ)
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Mot de l'Editeur
C'est une lectrice encore plus redoutable et avisée que Stefan Bollmann et Laure Adler introduisent dans ce volume les Femmes qui lisent sont de plus en plus dangereuses, tout en poursuivant l'exploration du thème de la lecture féminine et de sa représentation. La lecture de romans, méprisée par les hommes et considérée par eux comme une perte de temps, commence à porter ses fruits pour les femmes. Des siècles durant, leur addiction à la lecture a été blâmée parce qu'elle était considérée comme une activité désordonnée, manquant de discernement, les incitant à négliger d'abord leurs tâches domestiques, puis leurs devoirs publics: en d'autres termes, c'était une activité immorale, impudique et dépravée. Les femmes qui lisaient non seulement se mettaient en danger, mais elles étaient dangereuses.
En réalité, par leur désir effréné de lecture, elles ont acquis une grande connaissance des hommes et une subtile intelligence de la vie.
Paisible, dans un intérieur bourgeois, sous le pinceau de Gustave Caillebotte, solitaire, dans l'entrée d'un hôtel, chez Edward Hopper, dénudée chez Félix Valloton, la femme, un livre à la main, se pose en militante. De courtes notices incisives accompagnent une très belle sélection de peintures, dessins et photographies présentant des lectrices de toutes les conditions et de toutes les époques.

Laure Adler, née en 1950, est journaliste, historienne et écrivain, spécialiste de l'histoire des femmes  et des féministes aux XIXe et XXe siècles. On lui doit de nombreux ouvrages, notamment une biographie de Marguerite Duras (Gallimard, 1998), Dans les pas de Hannah Arendt (Gallimard, 2005), L'Insoumise, Simone Weil (Actes Sud, 2008), Françoise (Biographie de Françoise Giroud, Grasset, 2011). Elle vient de publier chez Autrement un Manifeste pour les hommes qui aiment les femmes.

Stefan Bollmann, né en 1958, a étudié la philolophie, le théâtre, l'histoire et la philosophie; c'est un spécialiste de Thomas Mann. Auteur et éditeur, il vit actuellement à Munich. Flammarion

Gwen John (1876-1939), L'Etudiante 1903. Manchester Art Gallery
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Tamara de Lempicka (1898-1982), Kizette en rose 1926
Musée des Beaux-Arts, Nantes
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Diego Velázquez (1599-1660), Sibylle 1644-1648. Meadow Museum, Dallas
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Sofonisba Anguissola (Vers 1530-1625), La Soeur de l'artiste en habit de religieuse 1551 
City Art Gallery, Southampton
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Emile Lévy (1826-1890),  La Lettre d'amour 1872. Collection particulière
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Alfred Stevens (1817-1875), Le Bain vers 1867. Musée d'Orsay, Paris
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Julius LeBlanc Stewart (1855-1919), Sarah Bernhardt et Christine Nilsson 1883 
Collection particulière
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Jacques-Joseph James Tissot (1836-1902), Octobre 1877 
The Montreal Museum of Fine Arts, Montréal
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Leonard Tsuguharu Foujita (1886-1968), Café 1949. 
Musée d'Art moderne de la ville de Paris, Paris
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mercredi 19 octobre 2011

Vincent Van Gogh ne se serait pas suicidé

Vincent Van Gogh (1853–1890), Self portrait 1989

Une nouvelle biographie du peintre remettant en cause la thèse du suicide laisse entrevoir la possibilité d'un assassinat ou d'un accident.

Depuis 121 ans, la version officielle de la mort de Van Gogh veut qu'il se soit suicidé, mais deux Américains, Steven Naifeh et Gregory White Smith, auteurs d'une nouvelle biographie sur le peintre, affirment qu'il n'en est rien. Ils s'expliquent dans le magazine d'investigation «60 minutes» de la chaîne CBS diffusé, dimanche soir aux États-Unis. Selon eux, le peintre souffrant d'épilepsie plutôt que de dépression, aurait en réalité été tué par deux adolescents, René Secrétan et son frère, lesquels ont toujours dit ne pas avoir été à Auvers-sur-Oise le jour de l'incident.

Les deux auteurs, récompensés du prix Pulitzer pour leur biographie sur Jackson Pollock, sont arrivés à cette conclusion après dix ans de recherches qui leur ont donné accès à la totalité des archives du Musée Van Gogh d'Amsterdam. Ils ont consulté quelque 28 000 notes, dont des lettres jusque-là inconnues de Vincent à son frère Théo et ses proches, et ont travaillé avec une petite armée de documentalistes et traducteurs. Si leur version est la vraie, elle bouleverserait l'histoire de l'un des peintres les plus célébrés au monde aujourd'hui. Suite de l'article: Le Figaro

mardi 18 octobre 2011

Le ciel est joli comme un ange.

Benigne Gagneraux (1756-1795), Le Triomphe de l'Amour
© François Jay © Dijon, musée des beaux-arts
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Le ciel est joli comme un ange.
L'azur et l'onde communient.
Je sors. Si un rayon me blesse
Je succomberai sur la mousse.

Arthur Rimbaud, Extrait: Bannières de mai

lundi 17 octobre 2011

Maurice Denis et la Bretagne, Musée Maurice Denis

Maurice Denis et la Bretagne
du 18 octobre 2011 au 22 janvier 2012

Port d’attache et région de prédilection de Maurice Denis, la Bretagne, qu’il fréquente presque chaque été dès sa jeunesse, est pour lui un lieu tout à la fois d’inspiration artistique, d’épanouissement familial et de recueillement spirituel.
 Autour du thème des éléments naturels, l’exposition réunit plus d’une centaine d’oeuvres empreintes de l’harmonieuse correspondance entre l’homme, la terre, la mer et le ciel qu’exprime la vision singulière de Maurice Denis. L’interprétation par le peintre des paysages ou des scènes de la vie d’un pays breton en même temps familier et idéalisé magnifie tous les aspects de la nature et des activités humaines. Les portraits, les paysages et plages, parfois revisités par les mythes et légendes, les humbles travaux quotidiens, les fêtes religieuses traditionnelles, les populaires régates…, se trouvent ainsi investis de spiritualité et de significations symboliques.
 Au-delà du choix des sujets, les relations de Maurice Denis avec la Bretagne témoignent de l’influence de Gauguin et de sa fidélité à la leçon picturale de Pont-Aven, bien après l’époque du groupe des nabis. Alors même qu’il s’oriente vers un nouveau classicisme, le courant synthétiste et le désir de simplifier les formes pour tendre à l’essentiel continuent de marquer la créativité de Maurice Denis.
Cette exposition prolonge une manifestation d’intérêt national qui s’est déroulée durant l’été 2009 en Bretagne, au musée des Beaux-Arts de Pont-Aven et au domaine départemental de La Roche-Jagu. Grâce à de nombreux prêts de musées français et étrangers et de collectionneurs, elle donne à voir une grande partie des œuvres qui y étaient exposées et les complète par une quarantaine d’autres oeuvres. Elle présente en parallèle des photographies et cartes postales anciennes provenant du fonds Maurice Denis conservé au musée qui porte son nom, ainsi que des photographies et quelques films réalisés au début du XXe siècle en Bretagne pour les Archives de la planète et prêtés par le musée Albert Kahn.

Maurice Denis, Régates à Perros-Guirec, vues de la jetée ouest, 1897 © ADAGP, Paris 2011

samedi 15 octobre 2011

Palettes, pinceaux et couleurs

Abraham Solomon (1824–1862), The fair amateur
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 Claude Eugene (1841-1922), In The Artist's Studio
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 Pascal Adolphe Jean Dagnan-Bouveret (1852-1929), L'artistic Musee
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 Miklos Barabas (1810-1898), Roza Teleki in the Atelier
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 Anna Bilińska-Bohdanowiczowa (1857-1893), Self Portrait with apron and brushes
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 Alice Pike Barney 1857–1931, Self portrait in painting robe
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 Judith Leyster (1609-1660), Self Portrait
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 Sofonisba Anguissola (1532-1625), Self Portrait
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 Alessandro Longhi (1733-1813), Painting and Merit
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Angelica Kauffman (1741-1807), Self-portrait
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 Élisabeth Vigée Le Brun (1755-1842), Autoportrait
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 Artemisia Gentileschi (1593-1652), Autoportrait
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 Jean Restout (1692-1768), Allegorie de la peinture. (C) RMN / Gérard Blot
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 Claudio Francesco Beaumont (1694 - 1766), Allégorie de la peinture
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Eduard Daege (1805-1883), L'invention de la peinture
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Domenico Corvi (1721-1803), Allegory of Painting
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 Louis Beroud (1852-1930), Peintre copiant un Murillo au musee du Louvre
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Angelica Kauffmann (1741-1807), Disegno
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François Boucher (1703-1770), Allégorie de la Peinture. (C) RMN / Jacques Quecq d'Henripret
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«Trois opérations : Voir, opération de l’œil. Observer, opération de l’esprit. Contempler, opération de l’âme. Quiconque arrive à cette troisième opération entre dans le domaine de l’art.» Emile Bernard