Constant Joseph Brochart (1816-1889/1899), Portrait d'Aïcha. L'une des femmes d'Abd el Kader Crédit photographique : (C) Musée La Piscine (Roubaix), Dist. RMN-Grand Palais / Arnaud Loubry |
« Et ma vie pour tes yeux lentement s'empoisonne. »
Guillaume Apollinaire, Les colchiques
une beauté à la frida kahlo.. les sourcils en ligne...
RépondreSupprimerBelle prose d'Apollinaire
RépondreSupprimerAucun doute, Apollinaire la regardait en écrivant ces mots ;)
RépondreSupprimerElle a vraiment des jolis yeux cette Aïcha. L'émir Abdelkader avait de la chance sur ce point là.
RépondreSupprimerLa piscine est vraiment un musée fantastique tant par ses œuvres que par son architecture.
RépondreSupprimerVivement que j'y retourne pour aller voir ce beau portrait.
Elle est bien gironde n'est-ce pas, une beauté du sud ... Quelle belle oeuvre ! merci chère Hôte !
RépondreSupprimerBonjour Kenza,
RépondreSupprimerMerci pour ton passage chez moi :) À mon tour, je te souhaite une année remplie de santé, de bonheur, de paix et d'amour. Je passe parfois par Paris. Si tu veux, je t'en donne de nouvelles et on se voit pour un café :)