samedi 12 janvier 2013

Françoise Sagan, ma mère, Denis Westhoff

Mot de l'Editeur
  Célèbre à dix-neuf ans, Françoise Sagan n'est pas seulement un écrivain populaire et un personnage qui hante les nuits parisiennes. Elle est l'image de l'après-guerre, d'une France libérée, d'une nouvelle vague brûlant les interdits, au style littéraire épuré et tranchant. Mais c'est au fils des succès en librairie que se construit le «mythe Sagan». Une légende sulfureuse et réductrice ...

  Denis Westhoff, son fils, nous ouvre son album personnel et nous propose de découvrir le vrai visage de cette femme moderne et insaisissable. De souvenirs en analyses, il décrit au plus juste celle qui disait de lui : « Avec Denis, c'est la première fois que j'ai le sentiment de me trouver devant quelqu'un qui a le droit de me juger. » 

« Au-delà de la légende, au-delà des récits et des bavardages, les bruits et les expressions que je connais si bien de ma mère transparaissent derrière les photographies de ce livre. J'y retrouve intacte une femme – et une mère – aimante, attentive, généreuse et éprise de liberté, une femme que j'ai si bien connue et avec qui, en fouillant dans ce passé peuplé d'images de toutes sortes, je m'aperçois que j'ai partagé infiniment plus de choses que je ne le croyais. » Denis Westhoff

2 commentaires:

  1. Je n'ai pas lu le livre de Denis Westhoff, mais simplement un article lors de sa sortie. On découvre une femme totalement à l'opposé de sa vie nocturne, et de ce que l'on aurait pu croire vis à vis de l'éduction de son fils. Sagan était aimante et protectrice. L'auteur adorait sa mère, qui retrouvait son père pour décider de pas mal de choses ensemble pour l'enfant, ils étaient même redevus amants. Il ne s'est pas ennuyé enfant, il en a un bon souvenir.
    Meci Kenza !
    Bisous

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  2. Je vais me procurer ce livre,
    car j'ai toujours adoré Françoise Sagan. Le personnage excessif,
    spontané, audacieux, se mettant
    en danger pour vivre toutes ses
    addictions. Et puis l'auteur.
    Même si certains de ses romans
    m'ont laissé totalement indifférente.
    Mais les nouvelles, et ses confidences m'ont touché, aussi
    par la qualité de son écriture.
    Oui, Sagan aurait mérité une fin
    de vie moins douloureuse.
    Bon dimanche. ELZA

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«Trois opérations : Voir, opération de l’œil. Observer, opération de l’esprit. Contempler, opération de l’âme. Quiconque arrive à cette troisième opération entre dans le domaine de l’art.» Emile Bernard