Salomon de Bray (1597-1664), Jeune femme se coiffant.(C) RMN (Musée du Louvre) / Gérard Blot
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Le coeur tremblant, la joue en feu,
J'emporte dans mes cheveux
Tes lèvres encore tièdes.
Tes baisers restent suspendus
Sur mon front et mes bras nus
Comme des papillons humides.
Je garde aussi ton bras d'amant,
Autoritaire enlacement,
Comme une ceinture à ma taille.
Cécile Sauvage
Oh j'aime... Merci!
RépondreSupprimerLa beauté toujours au rendez-vous dans ce pays au jasmin et aux parfums d'amour. Magnifique, Kenza. Bonne année pleine de bouquets de violettes et de senteurs délicats et de musiques !
RépondreSupprimerJ'aime ces tableaux qui montre la beauté dans toute la splendeur qui ravit l'oeil et nourrit l'esprit!
RépondreSupprimerTrès belle année petit Théier Jasminoïde ... elle sera sûrement belle ici, d'ailleurs, puisque ton blog est entièrement dédié à la beauté et que nous sommes nombreux à le fréquenter pour cela.
RépondreSupprimerBises et merci pour tes voeux.
Belle poésie pour accompagner l' image.
RépondreSupprimerHeureuse année pour toi et la famille chère Kenza, santé, bonheur et prosperité!
Muchos besos desde Argentina!
Tout en rondeurs, poésie et femme, de toute beauté, merci!
RépondreSupprimerMerveilleux duo comme tu sais les faire et cette toile est sublime, je ne la connaissais pas, merci.
RépondreSupprimerPensées bien coiffées