Félix Vallotton : Le feu sous la glace
du 02 Octobre 2013 au 20 Janvier 2014
Première rétrospective consacrée à Félix Vallotton par un musée national parisien depuis près d’un demi-siècle.
Félix Vallotton (1865-1925) est un artiste unique qui,
bien que proche des nabis, garde sa vie durant un style à la fois très
personnel et résolument moderne.
Il adopte ainsi des cadrages audacieux et des
perspectives aplaties empruntées aux estampes japonaises et à la photographie.
Reconnaissables entre toutes, ses toiles se distinguent par des couleurs
raffinées et un dessin précis découpant la forme qu’il met également au service
de la gravure. Travailleur acharné, il s’essaie à tous les genres : portrait,
nu, paysage, nature morte et même peinture d’histoire.
Exposition organisée par la Réunion des musées nationaux
– Grand Palais et le musée d’Orsay, avec le concours exceptionnel de la
Bibliothèque nationale de France, des Musées d'art et d'Histoire de Genève et
du Musée cantonal des Beaux-Arts de Lausanne.
Félix
Vallotton, La Valse, 1893, huile sur toile, 61 x 50 cm, Le Havre, MuMa - Musée
d’art moderne André-Malraux, collection Senn © MuMa, Le Havre / photo Florian Kleinefenn |
Félix Vallotton, La Chambre rouge, 1898, tempera sur
carton, 50 x 68,5 cm, Lausanne, musée cantonal
des Beaux-Arts, acquisition 1983
© musée cantonal des Beaux-Arts de Lausanne / Photo J.-C. Ducret
|
Félix Vallotton, Le Ballon, 1899, huile sur carton
marouflé sur bois, 48 x 61 cm Paris, musée d’Orsay,
legs de Carle Dreyfus, 1953
© Rmn-Grand Palais (musée d'Orsay) / Hervé Lewandowski
|
Félix
Vallotton La Blanche et la Noire 1913 huile sur toile, 114 x 147 cm
Winterthour, Fondation Hahnloser/Jäggli, Villa Flora © Fondation Hahnloser/Jaeggli, Winterthour |
Félix
Vallotton, Le Chapeau violet, 1907, huile sur toile, 81 x 65,5 cm Winterthour, Fondation Hahnloser/Jäggli, Villa Flora © Fondation Hahnloser/Jaeggli, Winterthour |
J'ai adoré cette expo. J'avais déjà eu le plaisir de le découvrir à Marseille pour ses xylogravures.
RépondreSupprimerJ'ai vu Braque aussi. Des aspects que je ne connaissais pas. Et puis Salgado, à la Maidon Européenne de la photographie. Joli blog.
Olivier