Pierre Oliver Joseph Coomans (1816–1889), Odalisque |
où hurle ta chevelure,
quand tu ôtes au sommeil
des vents tranquilles - ou
que tu écoutes dans la
profusion brillante des
amandes - ou que
tu traces entre mes bras
trois visages singuliers -
ou que tu engages un rivage
dissipé de désirs - ou
que ton nom poursuit mon
histoire - ou que notre
étreinte fait vendange
dans le partage
- délice
- crainte et
- cendres.
Gérard de Cortanze, La porte de Cordoue
Un peu de douceur en ce début de semaine que je te souhaite belle et riche.
RépondreSupprimertres belle peinture!!! mon amie Kenza!!!
RépondreSupprimerUne belle association qui nous laisse entre l'éveil et le rêve.
RépondreSupprimerBonne soirée,
Yann
excellent choix, Kenza. Bonne semaine!
RépondreSupprimerJeune beauté flamboyante, qu'elle est belle !
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