Charles Allan Winter, My Bohemian Aesthetic
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Il est vrai, jeune Iris, que vous savez aimer,Et vos regrets en sont d'illustres témoignages ;
D'un exemple si beau l'on se sent animer,
Et mille amants depuis vous offrent leurs hommages.
De vos chagrins, de vos rigueurs,
De vos soupirs, de vos langueurs,
Chacun se fait de nouveaux charmes ;
Puisqu'elle aimait, dit-on, peut-être elle aimera ;
Heureux qui fit couler ses larmes !
Plus heureux qui les essuyera !
Antoine de La Sablière
Superbe profil et couleurs chaudes.
RépondreSupprimerLa belle Iris, fille de Thaumos, messagère exclusive de bonnes nouvelles auprès de Junon fut changée en arc-en-ciel ... les beaux iris aux tons chatoyants embaument nos jardins et cette somptueuse femme à l'iris de Charles Allan Winter que tu nous offres aujourd'hui est aussi fière et sensuelle que cette fleur monarchique.
RépondreSupprimerMille bisous ma chère Kenza amie
les boutons des seins, le collier, le bijoux..des touches de couleur rouge opposées à l'iris.. parfait!
RépondreSupprimercomme toujours,tu choisis des peintures voluptueuses et harmonieuses...un plaisir de venir ici!
Merci Kenza pour ce texte que je ne connaissais pas mais apprécie fort ... et pour sa merveilleuse illustration !
RépondreSupprimerPensées au diadème ...
Oh, merci, chére Kenza. Adorable cette toile.
RépondreSupprimerBisous!
Une toile magnifique et un poème envoutant !
RépondreSupprimermerveilleux portrait!
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