Jean-Léon Gérôme (1824-1904). Pygmalion et Galate
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Chaque baiser appelle un autre baiser. Ah! Dans ces premiers temps où l'on aime, les baisers naissent si naturellement!
Ils foisonnent si pressés les uns contre les autres; et l'on aurait autant de peine à compter les baisers qu'on s'est donnés pendant une heure que les fleurs d'un champ du mois de mai.
Marcel Proust, Du côté de chez Swann
Cet extrait de 'du côté de chez Swuan" est en harmonie parfaite avec cette toile!!!!
RépondreSupprimerBravo Kenza et à bientôt
Un ravissement que ces mots si délicats aussi merveilleusement illustrés !
RépondreSupprimerMerci.
les pieds en marbre..le reste du corps tout de volupté..
RépondreSupprimerLoooongue journée alors je viens chez toi et je lis, et j'admire. Cette phrase est très belle (j'ai essayé maintes fois de lire Proust... je n'y suis jamais arrivée!)
RépondreSupprimerMerci ma douce!
et j'avais oublié. Bien sûr que tu peux prendre le billet d'aujourd'hui en entier. Avec grand honneur!
RépondreSupprimermagnifique, le texte et la toile, le petit ange qui envoie sa flêche et le baiser qui donne la vie...
RépondreSupprimerbisous
bonne soirée
Danielle
Gérôme et Proust. Génial combinaison.
RépondreSupprimerBisous.
Magnifique extrait de Proust si joliment accompagné par cette toile incroyable tant elle semble illuminée de l'intérieur!
RépondreSupprimerBelle fin de semaine!
Un baiser, qu'est-ce ? Un point rose qu'on met sur l'i du verbe aimer !
RépondreSupprimerSuperbe cette harmonie Toile et Citation !
RépondreSupprimerMe donne envie d'aller compter les fleurs du mois de juin...