Cesare Augusto Detti (1847-1914), A musical Interlude
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Cette buée autour de cette rose, est-ce une volute de son parfum
Ou le fragile rempart que la brume lui a laissé ?
Ta chevelure sur ton visage, est-ce encore de la nuit que ton regard va dissiper ?
Réveille-toi, bien-aimée ! Le soleil dore nos coupes. Buvons !
Omar Khayyâm, Quatrains CXXXI
Magnifique image et magnifique texte. tout cela invite au voyage, à la rêverie, à la douceur.
RépondreSupprimerSi je veux retrouver une certaine beauté voluptueuse je viens frapper à ta porte et en plus j'ai en bonnus toutes les infos culturelles du moment!!! Donc j'accours ici après mon escapade vénitienne!
RépondreSupprimerA bientôt Kenza!
C'est un poète que j'aime avec son côté très épicurien et le tableau me fait pensé à Delacroix j'aime beaucoup
RépondreSupprimerEt si on ne se réveillait pas et que le rêve continuait ?
RépondreSupprimerquelle volupté !
RépondreSupprimerEncore et encore des découvertes sublimes.
RépondreSupprimerBeauté du quatrain, délicatesse de la toile : que demander de plus ?
RépondreSupprimerSuperbe !
Tellement beau ...EB
RépondreSupprimerUn voyage immobile, un rêve qui poursuit sa course...Une aspiration à la beauté si passionnée qu'elle nous bouleverse, ton blog est une fleur qui s'épanouit chaque jour et nous étourdit de son parfum suave... Définitivement Sous le charme, chère Kenza
RépondreSupprimerBisous