Alberto Vargas (1896-1982)
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La lune est grande, le ciel clairEt plein d'astres, la terre est blême.
Et l'âme du monde est dans l'air.
Je rêve à l'étoile suprême,
A celle qu'on n'aperçoit pas,
Mais dont la lumière voyage
Et doit venir jusqu'ici-bas
Enchanter les yeux d'un autre âge.
Quand luira cette étoile, un jour,
La plus belle et la plus lointaine,
Dites-lui qu'elle eut mon amour,
O derniers de la race humaine !
René-François Sully Prudhomme
On cherche toujours l'idéal et, parfois, on le trouve. Il est loin, mais il est aussi, dedans. Bises, Kenza.
RépondreSupprimerAbsolument délicieux.
RépondreSupprimerJ'ai laissé un link dans mon Tumblr:
http://inventariodelaberintosyquimeras.tumblr.com
Je peux? Bisous, chère amie.
J'aime beaucoup Sully Prudhomme. c'est le 1er lauréat du prix Nobel de littérature. C'était amplement mérité.
RépondreSupprimerLe tableau est superbe. Très fin et détaillé. J'aime ces couleurs douces.
On peut écrire, mais je dois d'abord installer le gadget.
RépondreSupprimerMerci. Bisous!!
merveilleux!!!!!!!!!!!!!
RépondreSupprimerJ'aurais pu l'ajouter à la liste de nos écrivains préferés et horreur: j'ai oublié!
RépondreSupprimerEt dire que feu mon père me clamait ces poèmes quand j'étais jeune... Ah le poème du "vase brisé"... merci Kenza pour cette plongée nostalique!
Délicieuse harmonie, les mots et la toile se renvoient de si douces paroles...
RépondreSupprimerBelle soirée, chère Kenza!