Claude-Marie Dubufe (1790-1864), La surprise
***
Elle passe des heures émues
appuyée à sa fenêtre,tout au bord de son être,
distraite et tendue.
Comme les lévriers en
se couchant leurs pattes disposent,
son instinct de rêve surprend
et règle ces belles choses
que sont ses mains bien placées.
C'est par là que le reste s'enrôle.
Ni les bras, ni les seins, ni l'épaule,
ni elle-même ne disent : assez !
Rainer Maria Rilke
Coucou Kenza !!!
RépondreSupprimerUn petit passage sur ton blog pour avoir de tes nouvelles !!
J'adore ta nouvelle bannière elle est vraiment très jolie avec toutes ses fleurs !!
Amitié
corinne
Un beau poème de Rilke pour bien commencer la semaine, semaine que je te souhaite belle et ensoleillée, je t'embrasse, Martine
RépondreSupprimerun beau tableau plein de sensualité et Rilke pour la voix off joli lundi
RépondreSupprimerTrès beau poème bien illustré :)
RépondreSupprimers.h.
Comme toujours tes paires sont divines! Le tableau ce poème. La traduction est vraiment trés belle. Merci ma douce... Oui est quel plaisir de commencer la semaine ainsi! (quoi que je rêve encore des chocolats de Pâques...)
RépondreSupprimerOn croirait le poème écrit pour le tableau... c'est incroyable ! Quel beau choix.
RépondreSupprimerBelle semaine de Pâques.
Bisous
ranCoucou, ma douce ! je n'arrivais plus à aller sur ton blog!! grrr!
RépondreSupprimerJ'adore la transformation qui est magnifique ...
Un très beau poème de Rilke que j'aime !!quelle osmose avec le tableau (faits l'un pour l'autre)
Je suis allée voir les oeufs que tu avais postés et c'est superbe et ... appétissant ...
Toute mon amitié et de doux bisous!
Solène
C'est beau , délicat , et avec ce poème c'est très agréable , l'on s'en va dans le rêve , bonne fin de journée .EB
RépondreSupprimerSomptueux !
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