Franz Dvorak 1862-1927, The Angel Of The Birds
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Dans cette vie ou nous ne sommes
Que pour un temps si tôt fini,
L'instinct des oiseaux et des hommesSera toujours de faire un nid ;
Et d'un peu de paille ou d'argile
Tous veulent se construire, un jour,
Un humble toit, chaud et fragile,
Pour la famille et pour l'amour.
Par les yeux d'une fille d'Ève
Mon coeur profondément touché
Avait fait aussi ce doux rêve
D'un bonheur étroit et caché.
Rempli de joie et de courage,
A fonder mon nid je songeais ;
Mais un furieux vent d'orage
Vient d'emporter tous mes projets ;
Et sur mon chemin solitaire
Je vois, triste et le front courbé,
Tous mes espoirs brisés à terre
Comme les oeufs d'un nid tombé.
François Coppée
bonjour! j´adore ce tableuax là l´ange des oiseaux. J´ai aimé aussi le poème, je suis en train de penser a mon nid... maintenent je voudrais vraiment avoir des enfants et une maison à moi... je ne peux pas attendre!
RépondreSupprimeroh... quel triste et beau poème... et si simple pourtant. Je l'ai lu très doucement, comme il se doit je crois. Merci pour cela. J'espère que tu as passé un joli séjour à Paris et que le Salon du livre fut interessant. Grosses bisous tout plein et bonne semaine!
RépondreSupprimerOh! Quel somptueux jaune, il s'agit sans doute d'une jonquille devenue ange...
RépondreSupprimerA très bientôt, sans doute :)))
Bisous, bisous
J’étais partie quelques jours à San Antonio dans le Texas et maintenant je lis tous les posts de mes amis bloggueurs. J’aime prendre mon temps avec ton blog, Kenza, car il a toujours de jolis tableaux, des pensées ou des textes à méditer et je ne veux pas me presser mais regarder lentement pour bien tout savourer. Merci d’être venue sur mon blog et d’avoir laissé un message, c’est gentil.
RépondreSupprimertres belle juorne
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